L’ère moderne des soucoupes volantes débute en 1947 avec le célèbre témoignage du pilote K. Arnold qui, sans le vouloir, est l’initiateur du mot « soucoupe » qui se transforme alors dans les journaux du monde entier en « soucoupe volante ».nSon observation d’un OVNI se déroule le 24 juin 1947 soit quelques semaines avant l’affaire Roswell.nAvant 1947, les OVNIS n’ont pas encore été médiatisés et aucun gouvernement ne s’y intéresse vraiment.nIl est indéniable que les médias et le cinéma ont fait plus de mal que de bien à l’ufologie. Bien avant tout ce tapage médiatique, des observations d’objets non identifiés sont parvenues jusqu’à nous. Mais dans de nombreux cas, ces observations peuvent se rapporter à des phénomènes cosmiques aujourd’hui connus, il reste néanmoins un ensemble de témoignages significatifs inexplicables.
Des Ovnis sous le règne de Thoutmosis III
Un des premiers écrits se rapportant à une observation d’OVNI se trouve dans un papyrus égyptien, les annales de Thoutmosis III, qui régna de 1484 à 1450 avant notre ère. Ce papyrus rapporte l’observation céleste de nombreux objets arrondis par le pharaon lui-même, son armée et ses scribes. En voici un résumé : « En l’année 22, au 3e mois d’hiver, à la 6e heure du jour…les scribes de la Maison de Vie observèrent un cercle de feu traversant le ciel…Ils se rendirent auprès du Pharaon…pour rapporter l’événement. Quelques jours plus tard, ces choses devinrent encore plus nombreuses dans les cieux. Elles brillaient au firmament plus que le Soleil jusqu’aux limites des quatre piliers du ciel. Au centre de son armée, le pharaon les observa. Puis, ils s’élevèrent encore plus en direction du sud. Le Pharaon ordonna d’inscrire ce qui s’était passé dans les annales de la Maison de Vie…afin qu’on s’en souvienne à jamais. Le corps des objets était long d’une perche, large d’une perche. Ils n’avaient pas de voix. Ils n’avaient pas de tête et leur haleine exhalait une odeur nauséabonde. »
Un des premiers écrits se rapportant à une observation d’OVNI se trouve dans un papyrus égyptien, les annales de Thoutmosis III, qui régna de 1484 à 1450 avant notre ère. Ce papyrus rapporte l’observation céleste de nombreux objets arrondis par le pharaon lui-même, son armée et ses scribes. En voici un résumé : « En l’année 22, au 3e mois d’hiver, à la 6e heure du jour…les scribes de la Maison de Vie observèrent un cercle de feu traversant le ciel…Ils se rendirent auprès du Pharaon…pour rapporter l’événement. Quelques jours plus tard, ces choses devinrent encore plus nombreuses dans les cieux. Elles brillaient au firmament plus que le Soleil jusqu’aux limites des quatre piliers du ciel. Au centre de son armée, le pharaon les observa. Puis, ils s’élevèrent encore plus en direction du sud. Le Pharaon ordonna d’inscrire ce qui s’était passé dans les annales de la Maison de Vie…afin qu’on s’en souvienne à jamais. Le corps des objets était long d’une perche, large d’une perche. Ils n’avaient pas de voix. Ils n’avaient pas de tête et leur haleine exhalait une odeur nauséabonde. »
La vision du prophète Ézéchiel:
Ézéchiel est le troisième des grands prophètes bibliques (VIe s. avant J.-C.). Prêtre exilé à Babylone en 598, lors de la première déportation, il eut pour mission de soutenir les exilés et de maintenir l'espérance en la restauration du peuple élu. Poète émérite, Ézéchiel est aussi un extraordinaire visionnaire. Cette vision que nous rapporte la Bible serait pour certains une observation d’OVNI. Il nous décrit un étrange véhicule venu du ciel et atterrissant près du fleuve Kebar, en Chaldée (aujourd’hui l’Irak), en la 5e année de la captivité juive (592 avant notre ère), sous le règne à Babylone de Nabuchodonosor. « Je regardai, et voici, il vint du nord un vent d’orage, un gros nuage entouré de lumière éclatante. Du feu sortait de lui en permanence et au milieu de ce feu miroitait du bronze. »
Ézéchiel poursuit : « En son centre se devinait la silhouette de quatre créatures vivantes. Elles avaient l’apparence suivante : de forme humaine, chacun avait quatre faces et quatre ailes. Leurs jambes étaient droites et la plante de leurs pieds ressemblait à un pied de veau. Sous leurs ailes, aux quatre côtés, elles avaient des mains d’hommes…chacune avait le visage d’un homme par devant…toutes quatre une face de lion à droite, une face de bœuf à gauche et…la face d’un aigle par derrière…Et leurs ailes se déployaient au-dessus ; deux des ailes se rejoignaient et deux recouvraient leur corps. Chacun des créatures marchait droit devant elle…sans se détourner de sa marche…Et ces créatures vivantes lançaient comme des éclairs d’orage. » Dans cette description très biblique, il semble y avoir une description qui mélange un objet apparenté à une machine et des « êtres vivants » possédant un équipement sophistiqué.
L’observation d’Ézéchiel se poursuit ainsi : « A présent regardant mieux ces créatures vivantes, j’aperçus une roue sur la terre à côté d’elles, une pour chacune des quatre. Quant à l’aspect de ces roues et à leur structure, elles brillaient comme de la chrysolite…et semblaient encastrées dans une autre roue…Elles avaient des rayons et des jantes couvertes d’yeux tout autour. Et quand ces créatures vivantes se déplaçaient, les roues les accompagnaient dans leur marche ; et quand les créatures vivantes s’élevaient du sol, les roues faisaient de même. » « Il y avait comme un trône, semblable à un saphir ; et assis sur ce semblant de trône se dressait une forme humaine. Et encore plus haut…de ses reins je vis comme un bronze poli…et il y avait une lumière éclatante…Telle l’apparence de l’arc-en-ciel un jour de pluie, ainsi rayonnait la lumière tout autour…Et quand je la vis…j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait. » On peut traduire cette observation de la manière suivante : Il s’agirait d’humanoïdes circulant dans des engins à roues surmontés d’un hublot. La suite de l’observation est beaucoup plus sujette à caution car, comme il se doit, le prophète fait référence aux commandements du Seigneur. Sans remettre en cause la foi des croyants, je me permets d’avoir quelques doutes quant au « discours » tenu par ces humanoïdes. Selon Ézéchiel , cette voix lui révèle que les Israélites seront punis pour leurs péchés s’ils n’obéissent pas aux commandements du Seigneur. Choisi comme messager de son peuple, Ézéchiel est accueilli à bord (« L’Esprit m’enleva »). Le vaisseau décolle alors (« J’entendis…le bruit des roues…qui grondaient comme un grand tremblement de terre ») et Ezéchiel se trouva transporté à Tel-Abib où l’attendaient ses amis exilés, et où il demeure assis « pendant sept jours, prostré au milieu d’eux », traumatisé par son expérience (Ezéchiel, I, 3). Si on excepte l’aspect religieux, ce texte pourrait être interprété comme un récit d’enlèvement et de restitution d’être humain. Ce type de récits est devenu un classique à l’époque moderne. Quelle que soit notre opinion sur ce texte, il est indéniable qu’Ezéchiel a décrit des machines totalement inconnues à son époque.
Ézéchiel est le troisième des grands prophètes bibliques (VIe s. avant J.-C.). Prêtre exilé à Babylone en 598, lors de la première déportation, il eut pour mission de soutenir les exilés et de maintenir l'espérance en la restauration du peuple élu. Poète émérite, Ézéchiel est aussi un extraordinaire visionnaire. Cette vision que nous rapporte la Bible serait pour certains une observation d’OVNI. Il nous décrit un étrange véhicule venu du ciel et atterrissant près du fleuve Kebar, en Chaldée (aujourd’hui l’Irak), en la 5e année de la captivité juive (592 avant notre ère), sous le règne à Babylone de Nabuchodonosor. « Je regardai, et voici, il vint du nord un vent d’orage, un gros nuage entouré de lumière éclatante. Du feu sortait de lui en permanence et au milieu de ce feu miroitait du bronze. »
Ézéchiel poursuit : « En son centre se devinait la silhouette de quatre créatures vivantes. Elles avaient l’apparence suivante : de forme humaine, chacun avait quatre faces et quatre ailes. Leurs jambes étaient droites et la plante de leurs pieds ressemblait à un pied de veau. Sous leurs ailes, aux quatre côtés, elles avaient des mains d’hommes…chacune avait le visage d’un homme par devant…toutes quatre une face de lion à droite, une face de bœuf à gauche et…la face d’un aigle par derrière…Et leurs ailes se déployaient au-dessus ; deux des ailes se rejoignaient et deux recouvraient leur corps. Chacun des créatures marchait droit devant elle…sans se détourner de sa marche…Et ces créatures vivantes lançaient comme des éclairs d’orage. » Dans cette description très biblique, il semble y avoir une description qui mélange un objet apparenté à une machine et des « êtres vivants » possédant un équipement sophistiqué.
L’observation d’Ézéchiel se poursuit ainsi : « A présent regardant mieux ces créatures vivantes, j’aperçus une roue sur la terre à côté d’elles, une pour chacune des quatre. Quant à l’aspect de ces roues et à leur structure, elles brillaient comme de la chrysolite…et semblaient encastrées dans une autre roue…Elles avaient des rayons et des jantes couvertes d’yeux tout autour. Et quand ces créatures vivantes se déplaçaient, les roues les accompagnaient dans leur marche ; et quand les créatures vivantes s’élevaient du sol, les roues faisaient de même. » « Il y avait comme un trône, semblable à un saphir ; et assis sur ce semblant de trône se dressait une forme humaine. Et encore plus haut…de ses reins je vis comme un bronze poli…et il y avait une lumière éclatante…Telle l’apparence de l’arc-en-ciel un jour de pluie, ainsi rayonnait la lumière tout autour…Et quand je la vis…j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait. » On peut traduire cette observation de la manière suivante : Il s’agirait d’humanoïdes circulant dans des engins à roues surmontés d’un hublot. La suite de l’observation est beaucoup plus sujette à caution car, comme il se doit, le prophète fait référence aux commandements du Seigneur. Sans remettre en cause la foi des croyants, je me permets d’avoir quelques doutes quant au « discours » tenu par ces humanoïdes. Selon Ézéchiel , cette voix lui révèle que les Israélites seront punis pour leurs péchés s’ils n’obéissent pas aux commandements du Seigneur. Choisi comme messager de son peuple, Ézéchiel est accueilli à bord (« L’Esprit m’enleva »). Le vaisseau décolle alors (« J’entendis…le bruit des roues…qui grondaient comme un grand tremblement de terre ») et Ezéchiel se trouva transporté à Tel-Abib où l’attendaient ses amis exilés, et où il demeure assis « pendant sept jours, prostré au milieu d’eux », traumatisé par son expérience (Ezéchiel, I, 3). Si on excepte l’aspect religieux, ce texte pourrait être interprété comme un récit d’enlèvement et de restitution d’être humain. Ce type de récits est devenu un classique à l’époque moderne. Quelle que soit notre opinion sur ce texte, il est indéniable qu’Ezéchiel a décrit des machines totalement inconnues à son époque.
Des OVNIS au Japon médiéval:
Les Japonais utilisèrent un terme équivalent à nos « soucoupes volantes » approximativement 700 ans avant son usage en Occident. Kojiki (Relation des choses anciennes) est l'histoire du Japon compilée en 712 par O no Yasumaro sur l'ordre de l'impératrice Gemmei. Elle propose une généalogie impériale remontant jusqu'à l'âge des dieux ainsi qu'un ensemble de mythes et de récits. Dans le Kojiki, le chambellan Hixedano-dare rapporte qu’à l’automne 692 « on vit dans la nuit les planètes Mars et Jupiter se rapprocher l’une de l’autre puis s’éloigner quatre fois de suite, resplendissant et s’éteignant alternativement ». (Extrait de Les Grandes Enigmes. Ed. Larousse 1994) Il ne pouvait évidemment pas s’agir des deux planètes en question. D’autres anciens documents décrivent un objet brillant, inhabituel, observé dans la nuit du 27 octobre 1180 comme une « poterie volante », l’équivalent à notre « soucoupe ». Un moment après s’être envolé au nord-est de la province de Kii, l’objet disparut en laissant une trainée lumineuse. Les chroniques japonaises ont enregistré de nombreux évènements bizarres. On considérait ces évènements comme de mauvais présages qui provoquaient souvent des paniques.
Les Japonais utilisèrent un terme équivalent à nos « soucoupes volantes » approximativement 700 ans avant son usage en Occident. Kojiki (Relation des choses anciennes) est l'histoire du Japon compilée en 712 par O no Yasumaro sur l'ordre de l'impératrice Gemmei. Elle propose une généalogie impériale remontant jusqu'à l'âge des dieux ainsi qu'un ensemble de mythes et de récits. Dans le Kojiki, le chambellan Hixedano-dare rapporte qu’à l’automne 692 « on vit dans la nuit les planètes Mars et Jupiter se rapprocher l’une de l’autre puis s’éloigner quatre fois de suite, resplendissant et s’éteignant alternativement ». (Extrait de Les Grandes Enigmes. Ed. Larousse 1994) Il ne pouvait évidemment pas s’agir des deux planètes en question. D’autres anciens documents décrivent un objet brillant, inhabituel, observé dans la nuit du 27 octobre 1180 comme une « poterie volante », l’équivalent à notre « soucoupe ». Un moment après s’être envolé au nord-est de la province de Kii, l’objet disparut en laissant une trainée lumineuse. Les chroniques japonaises ont enregistré de nombreux évènements bizarres. On considérait ces évènements comme de mauvais présages qui provoquaient souvent des paniques.
En voici un exemple intéressant :
« Le 12 septembre 1271, le prêtre Nichiren allait être décapité à Tatsunokuchi, quand apparut dans le ciel un objet lumineux et brillant semblable à la pleine Lune. » Ce fut la panique et le pauvre prêtre eu la vie sauve. D’autres rapports font mention d’objets décrits comme des « sortes de tambour, d’un diamètre d’environ 6 m » ou d’objets sombres, faisant le « bruit d’une roue ».
« Le 12 septembre 1271, le prêtre Nichiren allait être décapité à Tatsunokuchi, quand apparut dans le ciel un objet lumineux et brillant semblable à la pleine Lune. » Ce fut la panique et le pauvre prêtre eu la vie sauve. D’autres rapports font mention d’objets décrits comme des « sortes de tambour, d’un diamètre d’environ 6 m » ou d’objets sombres, faisant le « bruit d’une roue ».
Un étrange objet devant le Soleil:
Ce rapport d’une observation curieuse date de 1762. L’observation émane de M. de Rostan, astronome amateur et membre de la Société de médecine et de physique de Bâle, en Suisse. Le 9 août 1762, à Lausanne, il observa au télescope un objet en forme de fuseau traversant le Soleil. Il put suivre cet objet presque tous les jours pendant un mois. Il réussit à reproduire le tracé de cet objet qu’il envoya à l’Académie royale des sciences de Paris. Malheureusement, cette illustration n’existe plus. Un ami de M. de Rostan, vivant près de Bâle, observa lui aussi devant le Soleil l’objet en forme de fuseau. L’objet ne fut pas repéré par Messier, un astronome parisien qui étudiait le Soleil pendant cette même période. Cela confirme au moins que l’objet n’était pas une tache solaire puisqu’on ne le voyait que sous certains angles.
Ce rapport d’une observation curieuse date de 1762. L’observation émane de M. de Rostan, astronome amateur et membre de la Société de médecine et de physique de Bâle, en Suisse. Le 9 août 1762, à Lausanne, il observa au télescope un objet en forme de fuseau traversant le Soleil. Il put suivre cet objet presque tous les jours pendant un mois. Il réussit à reproduire le tracé de cet objet qu’il envoya à l’Académie royale des sciences de Paris. Malheureusement, cette illustration n’existe plus. Un ami de M. de Rostan, vivant près de Bâle, observa lui aussi devant le Soleil l’objet en forme de fuseau. L’objet ne fut pas repéré par Messier, un astronome parisien qui étudiait le Soleil pendant cette même période. Cela confirme au moins que l’objet n’était pas une tache solaire puisqu’on ne le voyait que sous certains angles.
Un objet non identifié atterrit en France au 18e siècle:
Je termine ce petit récapitulatif avec une observation qui ne manque pas d’intérêt. Le 12 juin 1790, près d’Alençon, en France, un rapport de police décrit un crash qui ressemble fortement à celui de Roswell. Voici ce que dit le rapport établit par l’inspecteur de police Liabeuf, chargé de procéder à une enquête : « A cinq heures du matin…plusieurs fermiers ont aperçu un globe énorme qui semblait entouré de flammes…Le globe descendit lentement, oscilla à plusieurs reprises et se précipita sur le faîte d’une colline dont il arrache les plantes tout au long du versant. La chaleur répandue était si intense que l’herbe et les petits arbres commencèrent à brûler. La sphère était encore chaude dans la soirée et une chose extraordinaire, pour ne pas dire incroyable, arriva. Les témoins étaient : deux maires, un docteur…sans parler des douzaines de paysans qui étaient présents…n« Puis, tout à coup, une sorte de porte s’ouvrit et une personne comme nous en sortit, mais cette personne était habillée d’une façon bizarre, elle portait un habit qui lui collait au corps et, voyant toute cette foule, elle dit quelques mots que l’on ne comprit pas et s’enfuit dans les bois en courant. Instinctivement, les paysans reculèrent de frayeur et cela les sauva, car, peu après, la sphère éclata en silence… »nIl est difficile de mettre en doute le témoignage de tous ces témoins qui n’avaient pas la tête farcie de séries de science-fiction. On ne peut pas non plus, comme dans le cas Roswell, parler de ballon-sonde ou suspecter le gouvernement d’avoir testé des engins militaires. C’est d’ailleurs tout l’intérêt des rapports qui ont été écrits avant la Seconde Guerre mondiale, à une époque où notre technologie était très primitive.
Je termine ce petit récapitulatif avec une observation qui ne manque pas d’intérêt. Le 12 juin 1790, près d’Alençon, en France, un rapport de police décrit un crash qui ressemble fortement à celui de Roswell. Voici ce que dit le rapport établit par l’inspecteur de police Liabeuf, chargé de procéder à une enquête : « A cinq heures du matin…plusieurs fermiers ont aperçu un globe énorme qui semblait entouré de flammes…Le globe descendit lentement, oscilla à plusieurs reprises et se précipita sur le faîte d’une colline dont il arrache les plantes tout au long du versant. La chaleur répandue était si intense que l’herbe et les petits arbres commencèrent à brûler. La sphère était encore chaude dans la soirée et une chose extraordinaire, pour ne pas dire incroyable, arriva. Les témoins étaient : deux maires, un docteur…sans parler des douzaines de paysans qui étaient présents…n« Puis, tout à coup, une sorte de porte s’ouvrit et une personne comme nous en sortit, mais cette personne était habillée d’une façon bizarre, elle portait un habit qui lui collait au corps et, voyant toute cette foule, elle dit quelques mots que l’on ne comprit pas et s’enfuit dans les bois en courant. Instinctivement, les paysans reculèrent de frayeur et cela les sauva, car, peu après, la sphère éclata en silence… »nIl est difficile de mettre en doute le témoignage de tous ces témoins qui n’avaient pas la tête farcie de séries de science-fiction. On ne peut pas non plus, comme dans le cas Roswell, parler de ballon-sonde ou suspecter le gouvernement d’avoir testé des engins militaires. C’est d’ailleurs tout l’intérêt des rapports qui ont été écrits avant la Seconde Guerre mondiale, à une époque où notre technologie était très primitive.
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